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Juin 20 2018

Nouveaux produits bâtiment : PLACO® SE POSITIONNE SUR TOUS LES PLANCHERS DE MAISON INDIVIDUELLE AVEC LES NOUVEAUX RUPTEURS RUPSILON® PI

Le blog du bâtiment : La part des déperditions thermiques des sols et planchers représente entre 7 et 10 % des déperditions globales d’un bâtiment. La RT 2012 a ainsi fixé à 0,6 W/(m.K) la valeur maximale du pont thermique en plancher intermédiaire, et à 0,28 W/(m.K) la valeur moyenne sur l’ensemble du bâtiment. L’utilisation de rupteurs est devenue essentielle pour respecter ces exigences et traiter durablement et économiquement l’isolation du bâti. Proposer une solution polyvalente performante, tel est le leitmotiv de PLACO® avec le lancement de la nouvelle gamme de rupteurs de ponts thermiques pour planchers intermédiaires RUPSILON® PI.

Le blog du bâtiment Placo

 

Destinée au marché de la maison individuelle neuve, la gamme RUPSILON® PI s’adapte à tous les types d’entrevous en béton, bois, plastique ou polystyrène ainsi qu’à toutes les poutrelles, précontraintes (hors Avis Technique) ou treillis, dans différentes hauteurs et largeurs. Ce large spectre de domaines d’emploi, validé sous Avis Technique 3.1/16-888_V1, constitue un atout pour les :

  • distributeurs et négoces, qui disposent d’une gamme claire et polyvalente. Facilitant la gestion de leurs stocks, elle leur permet de répondre à toutes les consultations pour des chantiers de planchers en maison individuelle,
  • maîtres d’ouvrage (constructeurs, promoteurs), qui sont sécurisés sur un plan règlementaire et assurantiel, grâce un Avis Technique*. Ils peuvent ainsi optimiser leurs chantiers avec une solution technique et économique,
  • artisans, pour qui la pose est facilitée avec des produits légers ne modifiant pas la mise en oeuvre classique du plancher,
  • prescripteurs et bureaux d’études, qui peuvent valider des performances thermiques certifiées dans le dossier d’Avis Technique, et attester ainsi du respect de la Réglementation Thermique.

* L’Avis Technique couvre uniquement les montages avec poutrelles treillis.

 

GUIDE DE CHOIX : À CHAQUE CHANTIER SA SOLUTION RUPSILON® PI !

La largeur de la gamme permet de répondre à tous les besoins :

  • RUPSILON® PI T : Rupteur de pont thermique transversal compatible avec les poutrelles treillis et précontraintes (hors Avis Technique), en quatre hauteurs (160, 170, 200 et 250 mm) et quatre largeurs (520, 540, 550 et 570 mm) pour s’adapter à la majorité des montages courants en plancher de maison individuelle.
  • RUPSILON® PI L : Rupteur de pont thermique longitudinal d’une longueur de 1,2 m, disponible en quatre hauteurs (160, 170, 200 et 250 mm). La partie sécable, aux extrémités supérieures du rupteur, permet le positionnement des aciers de ferraillage dans les angles du plancher.
  • RUPSILON® PI T PROTECT et RUPSILON® PI L PROTECT : Pour les planchers de haut de sous-sol et les planchers de toiture-terrasse, ces rupteurs se dotent d’un parement coupe-feu EI15 (résistance au feu de quinze minutes) dédié aux applications nécessitant des exigences incendie (hauts de sous-sols…).

 

RUPSILON® PI vient enrichir l’offre existante du système EPSILON® de PLACO®, composé notamment du RUPSILON® TLR. Ce rupteur de pont thermique 3 en 1 (traitement des ponts thermiques de rives, d’about et du mur de refend) est conçu pour les planchers sur vide-sanitaire avec entrevous en polystyrène.

 

LES [+] DE RUPSILON® PI : LE SOIN DU DÉTAIL

Les rupteurs présentent un profil identique, adaptable à tous les types de poutrelles. Des traits de coupe sur les rupteurs transversaux et des ergots permettant l’emboîtement sur les modèles longitudinaux ont été ajoutés pour faciliter la manipulation et la mise en oeuvre sur chantier. Gain de temps assuré !

 

www.placo.fr

Mai 30 2018

Nouveaux produits bâtiment : Schöck – Les rupteurs de ponts thermiques, alliés de la sécurité des balcons

Le blog du bâtiment : Les éléments particuliers de façade (balcons et loggias) se révèlent souvent sujets sensibles pour les acteurs de la construction. L’effondrement d’un balcon à Angers en 2016 qui avait fait 4 victimes, ou plus récemment, en mars dernier, la chute de trois balcons d’un immeuble en rénovation à Nanterre, ont marqué les esprits. Actualité toujours : le Ministère de la Cohésion des territoires a sollicité une étude sur la sécurité des balcons, sous l’égide de l’Agence Qualité Construction (AQC), impliquant également l’Association de certification des armatures béton (Afcab). Faire progresser la solidité des bâtiments s’avère plus que jamais à l’ordre du jour, notamment à l’orée des chantiers du Grand Paris. Une conviction que partage Schöck, l’inventeur des rupteurs de ponts thermiques.

Le blog du bâtiment Schöck

 

La pathologie des balcons selon l’AQC

Les désordres affectant les balcons se répartissent en deux catégories : ceux structurels, ayant trait à des défauts de mise en œuvre sur chantier, aux conséquences allant du simple effritement en nez de dalle jusqu’à la rupture du balcon ; ceux relatifs à des problèmes climatiques et d’humidité, aux répercussions telles que la formation d’efflorescences et de stalactites en sous-face, ou des infiltrations. Rappelons d’ailleurs, qu’à ce jour, la réglementation n’oblige pas le constructeur à effectuer une étanchéité des balcons. Ainsi, nombre de sinistres émanent de conceptions ou de réalisations défectueuses des pentes sensées acheminer l’eau vers les ouvrages de récupération et d’évacuation : insuffisamment inclinées, parfois même dirigées vers les seuils de fenêtres, l’écoulement est rendu inopérant et l’eau stagne induisant des infiltrations à l’intérieur du logement.

 

Les risques d’effondrement

Les défauts de ferraillage constituent l’origine la plus fréquente des effondrements, sachant que bien souvent l’erreur ne vient pas de la conception des plans de béton armé mais plutôt d’une lecture erronée de ceux-ci (avec confusion entre lit supérieur d’armatures et lit inférieur par exemple). Les fissures en partie supérieure de la dalle et parallèles à l’appui peuvent s’expliquer par une insuffisance de section d’acier : en effet, pour un balcon en porte-à-faux, la quantité d’aciers (nombre et diamètre) pour la reprise structurelle de l’élément doit être définie rigoureusement. De même, un mauvais positionnement altimétrique des aciers est préjudiciable : placés trop hauts, ils occasionnent un défaut d’enrobage du béton favorisant la corrosion et l’apparition de fissures ; mis en œuvre trop bas, cela entraîne une diminution de la reprise du moment (bras de levier) de l’élément en porte-à-faux.

 

Les bonnes pratiques

L’AQC met en évidence quelques bonnes pratiques pour pallier tout risque de désordres :

• procéder à une vigilance accrue de l’encadrement des compagnons et mettre en place un système d’autocontrôle sur chantier ;

• vérifier systématiquement le bon positionnement et le ratio des armatures ;

• porter un soin particulier à la réalisation des pentes de balcon en exploitation, facilitant l’évacuation des eaux pour éviter leur percolation à travers le béton ;

• étancher la surface du balcon ;

• veiller à éviter les effets de ponts thermiques.

Schöck, acteur majeur dans le domaine du traitement des ponts thermiques, fait justement valoir en quoi la mise en place d’un rupteur répond parfaitement aux attentes de sécurité sur balcon.

 

Les rupteurs de ponts thermiques Schöck, garants de la sécurité des balcons

Reconnus pour leurs performances structurelles, thermiques et acoustiques (certifiés CERQUAL dans le cadre du traitement des bruits de chocs des coursives en ITE), les rupteurs Schöck entendent également garantir un degré maximum de sécurité des balcons où ils sont mis en œuvre.

Le rupteur est défini par le Service Ingénierie Schöck sur la base des efforts structurels à reprendre (traction, compression et cisaillement) et des plans fournis par le bureau d’études structure du projet. Chaque rupteur est fabriqué sur mesure puis livré sur chantier pour une configuration spécifiquement étudiée.

Ainsi, la conception d’un rupteur d’1 mètre de long, par exemple, tient compte d’un ratio d’armatures au mètre (nombre et diamètre de barres d’aciers par mètre) tout en respectant l’altimétrie des aciers en partie supérieure. Schöck prend également la précaution d’indiquer très clairement sur ses rupteurs, via plaque signalétique, leur référence et leur sens de pose afin de guider les ouvriers sur le chantier.

Steffen Scheer, Directeur technique Schöck, confie : « Le rupteur apporte une double sécurité quant à l’altimétrie des armatures. L’utilisation d’un isolant dense de type NEOPOR® et la présence, en partie supérieure du rupteur, d’un capot plastique muni de crochets permettent de garantir le bon positionnement des barres d’acier, à la hauteur définie, et ce, même si des intervenants marchent sur les armatures des rupteurs. »

Précisons que le rupteur s’avère insensible aux potentielles infiltrations d’eau puisque, d’une part, le corps isolant des rupteurs Schöck est en polystyrène graphité expansé (n’absorbe pas l’eau) et que, d’autre part, les aciers traversant le corps isolant présentent un caractère inoxydable pour justement contrer la corrosion des aciers en cas d’humidité. Un atout qui n’exempte pas les constructeurs d’étancher les balcons, bien entendu.

Enfin, autres valeurs ajoutées de l’expertise Schöck : son accompagnement clients et la traçabilité de ses produits. De la phase conception jusqu’à la mise en œuvre, les équipes Schöck sont présentes durant toute la réalisation du projet. Études de faisabilité, estimations budgétaires, supports techniques, plan de calepinage pour chaque ouvrage, aide au démarrage du chantier, formation du partenaire à la pose des rupteurs dans les règles de l’art jusqu’à la délivrance d’une AFP (Attestation de Formation à la Pose des rupteurs)… : Schöck développe une panoplie de services appréciés des professionnels, qu’ils soient maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, entreprises de construction ou bureaux de contrôle.

Industriel engagé et certifié ISO, Schöck réfléchit donc légitimement aux moyens d’assurer toujours davantage la sécurité des constructions, en particulier des balcons. La généralisation du recours aux rupteurs de ponts thermiques, titulaires d’un Avis Technique, pourrait être un des moyens efficaces pour que ces derniers cessent d’être considérés comme les talons d’Achille des bâtiments.

 

Une expertise hors pair… Schöck France, filiale basée à Entzheim (près de Strasbourg), développe et commercialise un ensemble de solutions ultra-performantes de traitement de ponts thermiques. La gamme Schöck Rutherma® / Isokorb® répond aux différents défis des constructions en proposant des solutions sur mesure pour des liaisons béton-béton, béton-acier, acier-acier ou encore béton-bois.

Schöck affiche un chiffre d’affaires annuel de 158,8 millions d’euros en 2016 et une présence commerciale dans 31 pays.

 

www.schoeck.fr

Juil 26 2017

Nouveaux produits bâtiment : Schöck équipe ses rupteurs de pattes de fixation exclusives pour gagner en stabilité et rapidité de mise en œuvre

Le blog du bâtiment : Pour Schöck, inventeur du rupteur de ponts thermiques, l’accompagnement des professionnels de la construction détermine intrinsèquement chacune de ses innovations produits. Car il ne suffit pas de concevoir des solutions performantes, encore faut-il que celles-ci soient faciles à mettre en œuvre et respectent les règles de l’art de leur pose.

Le blog du bâtiment Schoeck

 

Cette proximité avec les maîtres d’ouvrage, les maîtres d’œuvre et les entreprises de construction, Schöck la nourrit à travers une gamme de services dédiés : édition d’un guide des bonnes pratiques à la mise en place des rupteurs Rutherma, création d’une appli Schöck Psi Phone permettant d’obtenir en quelques clics une préconisation de rupteur et du Psi correspondant en fonction du pont thermique à traiter, lancement d’une autre appli ingénieuse, Acousti Phone, destinée aux bureaux d’études acoustiques pour valider instantanément l’objectif Qualitel, mise à disposition d’un catalogue BIM… Concernant les chantiers proprement dits, les équipes Schöck proposent des études de faisabilité technique dès les phases APD, des estimations budgétaires, des supports techniques pendant et après la pose, une formation à la pose des rupteurs dès le démarrage du chantier jusqu’à la remise d’une AFP(1)

Toujours attentif aux attentes des chefs de chantiers, c’est en s’appuyant sur leurs retours d’expériences que Schöck a conçu ses nouvelles pattes de fixation, équipant désormais les modèles de rupteurs type DF/DF VM (liaison dalles façades pour dalles coulées sur place). Objectifs : gagner en stabilité, en sécurité ainsi qu’en rapidité et efficacité de pose.

Une innovation signée Schöck pour plus de compétitivité et de qualité sur chantier

Les rupteurs Schöck se révèlent les seuls à présenter une épaisseur de 8 cm (alors que ceux de tous leurs concurrents mesurent seulement 6 cm), gage en soi des meilleures performances thermiques et de la stabilité du rupteur lors de sa mise en place. Afin d’accroître encore cette assise des rupteurs au moment de leur pose sur le coffrage plancher pour permettre de combiner vitesse et sécurité de pose, Schöck a choisi de les équiper de pattes de fixation. Ainsi tous les rupteurs DF et DF VM (liaison Dalles Façades y compris pour Voiles Minces – 16 cm) comportent en partie inférieure 4 pattes de fixation par mètre qui peuvent s’agrafer au coffrage pour un maintien optimal lors du coulage béton de la dalle.

Cette sécurité garantissant une stabilisation renforcée du rupteur sur le plancher prend toute sa mesure lors du coulage du béton car, comme le relaient plusieurs chefs de chantiers, sans une attention toute particulière portée à la propreté de coffrage de plancher lors de la pose des rupteurs, au moment de ligaturer correctement les aciers du rupteur à ceux de la dalle, il se pourrait que certains rupteurs se soulèvent en subissant la pression du béton, entraînant donc un léger décalage entre le nu supérieur de la dalle et celui du rupteur. Or, ce décalage induirait non seulement un pont thermique partiellement traité et surtout une incidence potentielle sur le coupe-feu puisque la plaque silico-calcaire en partie supérieure du rupteur doit être prise dans le béton. Dorénavant, grâce aux pattes de fixation, même dans une situation de précipitation, par exemple réception d’une toupie de béton alors que la pose des rupteurs est en cours, l’équipe de construction pourra agrafer le rupteur au coffrage plancher, exit le risque de soulèvement lors du coulage du béton et donc de pose négligée.

Une innovation signée Schöck qui va permettre aux poseurs de gagner en rapidité et en qualité dans leur travail au quotidien, la sérénité et la sécurité en plus !

 

(1)Attestation de Formation à la Pose des rupteurs.

 

 

Une expertise hors pair… Schöck France, filiale basée à Entzheim (près de Strasbourg), développe et commercialise un ensemble de solutions ultra-performantes de traitement de ponts thermiques. La gamme Schöck répond aux différents défis des constructions en proposant des solutions sur mesure pour des liaisons béton-béton, béton-acier, acier-acier ou encore béton-bois.

Schöck affiche un chiffre d’affaires annuel de 144 millions d’euros en 2015 et est présent commercialement dans 31 pays.

 

www.schoeck.fr