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Jan 31 2018

Travailler dans le BTP

D’aucuns prétendent que le BTP est un secteur moribond, dévalorisant, avec des conditions de travail difficiles. Ils se trompent catégoriquement et véhiculent une image archaïque du travail dans le BTP. La réalité est tout autre : amélioration des conditions de travail, croissance économique et reprise d’activité, recrutement important dans de nombreux métiers, baisse des accidents de travail, innovations techniques, respect de l’environnement, etc. Les arguments abondent et démontrent que le BTP est un secteur qui a beaucoup évolué ces dernières années et est encore en pleine transformation grâce aux nouvelles technologies et à des méthodes d’organisation et de management résolument modernes.

 

La commande de grands chantiers : des milliers de postes à pourvoir

En France, le secteur du BTP compte presque un million et demi de salariés. En 2016, ce sont plus de 220 000 postes qui ont été pourvus à travers le pays. À ce titre, le secteur du BTP représente un pan essentiel de l’économie française. Les grands chantiers de ces dernières années, autant que ceux en cours ou à venir, contribuent largement à offrir des milliers de postes dans toutes les filières du BTP. En effet, des chantiers tels que celui de la ligne LGV Paris – Bordeaux, ou celui du Grand Paris Express (le plus grand projet urbain d’Europe), font appel à une multitude de métiers et à toutes sortes de postes, du simple manœuvre à l’ingénieur ou au topographe. Le projet de Grand Paris nous donne un exemple concret de la création d’emplois que peut générer un tel chantier puisque 27 000 emplois directs par an devraient être générés, sans compter tous ceux qui verront le jour grâce à la mise en service des différentes infrastructures, au total plus de 115 000 créations d’emplois sont annoncées.

L’île de France est loin d’être la seule région à avoir la chance de bénéficier de projets d’envergure. Bretagne, Nouvelle-Aquitaine et Hauts-de-France entre autres, devraient également voir leur activité repartir à la hausse. Des chantiers comme le Grand Projet Ferroviaire du Sud-Ouest et le Canal Seine-Nord Europe vont contribuer à créer des milliers d’emplois dans ces régions, ou encore des démarches comme celle de la transition et de la rénovation énergétique, que nous allons aborder sans plus attendre.

 

La transition énergétique : le grand défi de notre époque

La transition énergétique et le développement durable n’en sont qu’à leurs balbutiements, mais ils portent déjà en eux beaucoup d’espoir, tant sur le sujet de la préservation de l’environnement que sur leur aspect économique. Beaucoup d’efforts seront nécessaires afin de parvenir à respecter l’accord sur le climat signé à Paris pendant la COP 21. Les énergies renouvelables deviendront omniprésentes dans notre quotidien d’ici quelques années et le besoin de main d’œuvre va considérablement augmenter. Installation d’éoliennes, chantiers de géothermie, rénovation énergétique, des dizaines de métiers sont concernés. Actuellement, le Plan de rénovation énergétique de l’habitat mis en place par l’état, permet déjà de rénover 500 000 bâtiments par an. L’objectif est de créer d’ici 2050 un parc immobilier de basse consommation.

Pour répondre à ces nouveaux enjeux, plusieurs centres de formation proposent aujourd’hui des cursus spécialisés dans les énergies renouvelables et le développement durable, une filière en plein essor et qui laisse entrevoir un champ des possibles immense.

 

Le BTP, un secteur avec une forte marge de progrès

Comme nous vous le faisions remarquer en introduction, le BTP est en constante évolution et a connu différents stades de mutation durant son histoire. Outre la croissance économique que le secteur connaît actuellement, de nombreux facteurs sont à prendre en considération afin de dresser un portrait fidèle de la situation. On peut notamment évoquer l’amélioration des conditions de travail, qui a pour résultante d’avoir fait baisser considérablement le taux d’accident de travail au cours de ces dernières décennies. L’efficacité des méthodes de prévention associée à des nouvelles techniques et à des outils de travail innovants ont permis de réduire significativement la dangerosité de certains postes. Chaque année, le nombre d’accidents mortels et de maladies professionnelles enregistre une baisse qui atteint désormais un pourcentage record pour ce secteur. La sécurité sur les chantiers est devenue une priorité pour les autorités publiques et pour les entreprises, si bien que chaque année de nombreuses actions sont menées afin de renforcer et de confirmer cette tendance.

Un autre indicateur important du progrès, qui concerne toutes les filières que comprend le BTP, est la démarche d’éco-responsabilité dans laquelle les entreprises s’engagent. En effet, les déchets émanant des chantiers sont nombreux et se comptent en millions de tonnes par an. Ils sont désormais systématiquement valorisés, dès que cela est possible. Le secteur dans son intégralité montre la volonté de réduire son impact sur l’environnement. Utilisation de matériaux écologiques et responsables, recyclage, énergies renouvelables, les nouvelles technologies permettent de réaliser des projets toujours plus respectueux de l’environnement et apporteront, dans un futur proche, encore beaucoup d’avantages et de solutions.

Secteur à l’origine essentiellement masculin, le BTP n’est pas à l’abri des stéréotypes. Cependant, preuve incontestable de progrès, une certaine mixité commence à grandir au sein des entreprises et des chantiers. Non, les femmes ne sont pas forcément cantonnées dans les postes administratifs. Un nombre croissant de femmes s’engagent dans ce secteur prometteur. Maçon, couvreur, conducteur d’engins ou électricien, ne sont pas que des métiers réservés aux hommes. Malgré les efforts physiques que peuvent demander certains métiers, beaucoup de femmes se lancent et trouvent leur vocation. Par ailleurs, elles sont également nombreuses à devenir cheffes d’entreprises, essentiellement dans le bâtiment. Presque 30 % des TPE/PME ont une femme à leur tête. Ainsi, 12 % des salariés du secteur sont des femmes, contre 2 % il y a encore quelques dizaines d’années, bien que la majorité occupe des postes de cadres ou de techniciennes. Comme quoi, le temps des préjugés est bien loin et le secteur devrait, sans nul doute, continuer sa féminisation dans les années qui viennent.

De très belles années se profilent donc pour le bâtiment et les travaux publics et les conséquences directes et indirectes, actuelles et futures, sont, d’un point de vue social comme économique, des arguments de poids qui placent l’industrie française parmi les élites mondiales.

 

Herman Kiwa – Groupe Via Mobilis

Article sponsorisé

Oct 27 2017

Les accidents du travail dans le BTP

Il fut un temps où les accidents du travail dans le BTP étaient très fréquents et souvent graves. Ce grand nombre d’accidents a amené à réfléchir au sein des entreprises, ainsi que pour des instances publiques telles que la sécurité sociale et la CnamTS, à la mise en place des mesures visant à renforcer la sécurité au travail. Résultat, avec un plan d’action de prévention large, comprenant, par exemple, le passage d’un certificat d’aptitude (CACES) pour les conducteurs d’engins, la gravité ainsi que le nombre d’accidents a considérablement régressé et est, actuellement, toujours en baisse.

 

Des chiffres rassurants pour un secteur accidentogène

Selon le dernier communiqué de presse de l’assurance-maladie, paru le 14 septembre 2017, la sinistralité (accidents du travail, de trajet et maladies professionnelles) dans le secteur du BTP, pour l’année 2016, a connu une baisse de 3,1 % de ses accidents du travail comparé à 2015 (l’indice de fréquence est de 60 AT pour 1000 salariés). Le BTP reste pourtant l’un des secteurs où les risques sont les plus grands. Toutefois, la prévention et les méthodes modernes de travail et d’organisation des chantiers ont permis aux entreprises de créer un environnement bien plus sécuritaire qu’auparavant. En effet, en onze ans le secteur du BTP enregistre une baisse de plus de 31 % de la sinistralité, soit le plus fort taux jamais enregistré, tous secteurs confondus.

 

Les principales causes des accidents dans le BTP

Malgré la baisse de la sinistralité, les causes les plus fréquentes d’accidents dans le BTP restent sans surprise la manutention manuelle (53%), les chutes de hauteur (29%), ainsi que l’utilisation d’outillage à main (9%). Cependant, l’Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics (OPPBTP), avec le soutien de la CnamTS et la DGT, a mis en place un plan stratégique nommé « Horizon 2020« . Ce plan a pour but de réduire significativement les causes des accidents les plus fréquents. Les trois causes prioritaires qui ont été identifiées sont les chutes de hauteur, les dangers chimiques comme avec l’amiante, ainsi que les risques routiers professionnels, des risques qui génèrent fréquemment des accidents mortels. Ainsi, ce ne sont pas moins de 1600 maîtres d’ouvrage qui ont été formés afin de soutenir et d’accompagner les entreprises du secteur dans leurs efforts de prévention des accidents de travail.

 

Les accidents liés aux engins de chantier

Les travaux publics sont, quant à eux, plus touchés par des accidents liés aux engins de chantier comparé au secteur du bâtiment. Si l’on en croit les données recueillies par l’INRS avec son programme « Epicea », qui répertorie des milliers d’accidents survenus entre 1991 et 2008, les accidents d’engins de TP représenteraient 23 % des AT sur cette période. Il s’agit donc du type d’accident le plus fréquent dans les travaux publics, loin devant les autres. Cette base de données montre bien que les risques liés aux engins de TP ne sont pas à prendre à la légère, la conduite et la manipulation d’engins tels que les tombereaux, les pelleteuses, les compacteurs ou encore les dumpers, nécessitent une formation adéquate à la conduite en sécurité, comme le dispense le CACES. Le référentiel annexé à la recommandation de la CnamTS relative au CACES, stipule que la formation des conducteurs d’engins est un prérequis indispensable que l’employeur se doit de respecter. Il permet au chef d’entreprise de remplir ses obligations vis-à-vis de la réglementation et au conducteur d’être formé en prenant en compte tous les éléments du référentiel.

De nombreux accidents dans le BTP sont encore dus à la mauvaise utilisation des engins de chantier, que ce soit sur des voies de transport public, pendant une manœuvre trop brusque ou encore, à cause de la chute d’une des parties de l’engin. Le certificat d’aptitude à la conduite en sécurité n’étant pas obligatoire, certains chefs d’entreprises se contentent de faire suivre une formation rapide à leurs employés et de leur délivrer une autorisation de conduite. Cependant, ces formations rapides ne sont pas forcément en phase avec le référentiel de la CnamTS et n’en abordent peut-être pas tous les éléments. C’est à cause de cette différence qualitative entre le certificat d’aptitude et d’autres formations non homologuées, que des chefs d’entreprises se sont déjà vu condamner au tribunal dans le cadre d’accidents mettant en cause des engins de chantier. Les accidents mettant en cause des engins de travaux publics sont souvent graves et entraînent le décès du conducteur ou d’une tierce personne, raison de plus pour être particulièrement vigilant.

Les accidents dans le BTP ne sont pas dus seulement à une mauvaise utilisation des engins ou des machines ou à une mauvaise organisation du travail, mais aussi, dans de nombreux cas, aux dysfonctionnements du matériel, ou bien à la nature et à l’état du sol qui peuvent également jouer un rôle important.

 

Former à la sécurité contribue à réduire le nombre et la gravité des accidents

Former les salariés à la sécurité fait partie des obligations légales de l’employeur. Les ouvriers doivent recevoir une formation dès leur entrée dans l’entreprise afin de minimiser les risques qui, comme le montrent les données collectées sur le sujet, sont plus grands lors des premiers jours d’embauche. De plus, bien que la sinistralité soit en baisse dans le secteur, certaines maladies professionnelles enregistrent une augmentation de leur indice de fréquence. C’est le cas pour les troubles musculo-squelettiques qui, en 2014, ont vu leur pourcentage bondir de près de 16 %. Ces chiffres sont à relativiser car des actions sont actuellement menées pour limiter que surviennent ces maladies professionnelles. Néanmoins, ils montrent bien l’importance de la formation à la sécurité, qui présente l’avantage de sensibiliser les travailleurs à la prévention des risques.

Pour conclure, on peut dire que le secteur du BTP reste encore l’un des plus accidentogènes et l’on peut aisément comprendre pourquoi : port de charges lourdes, masse en mouvement, travail sur nacelle en hauteur, circulation d’engins sur les voies de transport public, travaux avec des agents chimiques, etc. La liste des dangers est grande mais cela est à mettre en perspective avec le nombre de métiers représentés dans cette branche, du peintre en bâtiment au couvreur, du démolisseur au maçon, la palette est large. Toutefois, avec les innovations récentes et futures dans le secteur du BTP, de réels efforts ont été mené de manière à sécuriser et minimiser les risques inhérents à chaque métier. La prévention, conduite en étroite relation par les organismes publics et les entreprises, a connu un franc succès et, à l’heure actuelle, continue d’améliorer les conditions de travail sur les chantiers. Chaque collaborateur est formé et sensibilisé à la sécurité, ce qui contribue à la mise en place d’un environnement sécuritaire, où toute personne intervenant sur le chantier participe à son bon déroulement. Beaucoup d’efforts sont actuellement déployés afin de tendre vers une prévention encore plus efficiente, les données publiées chaque année indiquent avec précision les points importants à travailler. Même si l’on peut se réjouir de la baisse du taux de fréquence des accidents du travail au sein du secteur du BTP, il convient de rester vigilant et de tirer des leçons de chaque accident entraînant le décès ou l’incapacité de travail d’un collaborateur.

 

Article sponsorisé – Herman Kiwa – Groupe Via Mobilis

Juil 13 2017

Nouveaux produits bâtiment : Nouvelle génération RANA LED Gen 2 de Sylvania – Un confort visuel exceptionnel au service du bien-être au travail

Le blog du bâtiment : Même si, selon le sociologue Jean Viard, nous ne passons plus que 12% de notre vie à travailler*, la qualité de vie au travail reste au cœur des préoccupations des entreprises. Dans les bureaux, les salles de réunion et les zones de circulation, la qualité de l’éclairage influe directement sur le sentiment de bien-être et favorise la performance.

Afin que chacun s’épanouisse dans son environnement de travail, Sylvania offre, avec sa nouvelle génération de luminaires fonctionnels RANA LED Gen 2, des solutions d’éclairage LED combinant confort visuel exceptionnel et efficacité lumineuse élevée. Avec leur design adapté, ils s’intègrent parfaitement à l’architecture intérieure de la pièce qu’ils éclairent.

Le blog du bâtiment SYLVANIA

Un confort visuel exceptionnel

L’éclairage dans les bureaux joue un rôle capital sur la concentration et la fatigue. Equipée d’un optique en aluminium satiné et micro-prismatique offrant un niveau de luminance faible (80), la gamme RANA LED Gen 2 est idéale pour les bâtiments tertiaires et établissements scolaires.

 

Une gamme large et profonde au design épuré et discret

Encastrés, en saillie ou suspendus, les luminaires RANA LED Gen 2 affichent un design épuré et discret pour s’intégrer aisément aux faux-plafonds ou créer des lignes continues harmonieuses.

Extrêmement large, la nouvelle génération de luminaires RANA LED Gen 2 est désormais proposée dans différentes dimensions (600 x 600 mm, 1200 x 300 mm et 1500 x 300 mm) et en version asymétrique, une solution particulièrement appréciée des architectes pour l’éclairage de tableaux d’affichage dans les salles de réunion et salles de classe, ou pour créer des lignes discontinues dans les espaces de circulation. Les luminaires RANA LED Gen 2 sont compatibles avec les systèmes de gestion DALI, variation 1-10 V et SylSmart (luminaires intelligents avec capteur intégré).

 

Une meilleure efficacité lumineuse

Avec un flux lumineux allant jusqu’à 6500 lm pour une efficacité de 120 lm/W, la gamme RANA LED Gen 2 est à la fois performante et économe en énergie puisqu’elle permet de réaliser jusqu’à 20% d’économies d’énergie supplémentaires par rapport à l’ancienne génération.

 

Des luminaires durables

Avec une duré de vie de 50.000 heures (L90B10), la gamme RANA LED Gen 2 offre des solutions d’éclairage durables dans le temps sans perte de performance.

 

Un montage rapide et pratique

Les luminaires RANA LED Gen 2 sont équipés d’un connecteur rapide MPM, de LED intégrées et de 2 filins de sécurité, diminuant ainsi le temps d’installation. Un caisson en acier extra-plat est disponible pour le montage sous faible hauteur de plafond.

 

Parce que l’éclairage reste un poste de consommation important des bâtiments et que le bien-être de l’homme est au cœur de ses préoccupations, Sylvania offre, avec sa nouvelle génération de luminaires RANA LED Gen 2, des solutions d’éclairage toujours plus performantes, adaptées aux nouvelles exigences des bâtiments tertiaires et des établissements scolaires.

 

www.feilosylvania.com

Août 04 2015

Nouveaux produits Bâtiment : Prévention de la pénibilité dans le BTP – Leborgne® lance le premier grattoir télescopique

Le blog du Bâtiment : La pénibilité au travail, sujet fondamental de la réforme des retraites, est au cœur des préoccupations entrepreneuriales. La création du compte de prévention de la pénibilité représente à cet égard une avancée sociale essentielle pour les salariés exposés à un ou plusieurs facteurs de pénibilité. Pour les entreprises, et conformément à la loi du 20 janvier 2014, quatre facteurs de pénibilité sont à prendre en considération depuis le 1er janvier 2015 ; les six autres devront s’appliquer à compter du 1er juillet 2016.

S’il est un secteur où la pénibilité du travail ne fait plus débat, c’est bien le BTP. Port de charges lourdes, gestes répétitifs, postures pénibles, vibrations mécaniques, bruits… les professionnels du bâtiment connaissent des contraintes plus importantes que ceux des autres secteurs. Dans le BTP, les Troubles musculo-squelettiques (TMS) représentent la première cause de reconnaissance de maladie professionnelle en France (près de neuf maladies avec arrêt de travail sur dix). La prévention des facteurs de risques de pénibilité est donc un enjeu majeur de santé publique et de performance globale pour les entreprises du bâtiment.

L’amélioration des outils manuels utilisés quotidiennement sur les chantiers fait partie du panel de solutions pour réduire la pénibilité et les risques d’accidents. C’est pourquoi la prévention, à travers l’allègement des outils, l’optimisation de l’ergonomie, l’amélioration des positions de travail, l’absorption des vibrations ou encore la réduction des nuisances sonores, est un axe de recherche prioritaire et l’un des piliers du développement produits de Leborgne®. Cette démarche s’est notamment traduite par une étroite collaboration avec des utilisateurs professionnels sur le terrain dans le but d’identifier et de développer des outils contribuant à l’amélioration des conditions de travail. Dès 2011, Leborgne® a ainsi lancé le marteau de coffreur Leborgne nanovib®, le premier outil sur lequel le Bureau d’Études a travaillé la réduction des vibrations. Leborgne® a très vite été persuadé de l’intérêt de développer une gamme complète prenant en compte les problématiques liées, notamment, aux TMS. Cette gamme de 17 outils innovants s’enrichit cette année d’un nouveau grattoir télescopique.

 

Nouveau grattoir télescopique Leborgne nanovib®

Un produit unique sur le marché, conçu pour réduire les facteurs de risques liés aux postures pénibles

Unique sur le marché, le nouveau grattoir télescopique Leborgne nanovib® a été développé pour diminuer les facteurs de pénibilité lies aux postures pénibles. Son manche télescopique, trois fois plus long qu’un grattoir traditionnel, permet en effet de gratter les résidus de béton sur les murs et les banches jusqu’à 5 m de haut sans avoir à tenir le manche au-dessus de la coiffe des rotateurs. Principale cause de TMS de l’épaule, la pathologie de la coiffe des rotateurs se traduit par des douleurs, une perte d’amplitude et de force chez les compagnons touchés par cette affection.

Conçu pour les constructions en béton banché, le grattoir télescopique Leborgne nanovib® permet de nettoyer les résidus de béton sur les doubles banches de coffrages métalliques et les murs jusqu’à 5 m de haut. Son manche télescopique (2 m à 3,50 m) permet au compagnon de travailler les pieds au sol en toute sécurité, évitant ainsi d’avoir à monter un échafaudage pour être à niveau. Très simple d’utilisation, la poignée automatique, avec système de blocage/déblocage sans goupille, assure un réglage rapide de la longueur du manche par crans (tous les 40 cm).

La lame pliée du grattoir télescopique Leborgne nanovib® offre 2 angles de travail qui permettent de choisir l’orientation optimale pour racler efficacement les laitances fraiches ou séchées. Les angles de la lame sont arrondis pour éviter de rayer les surfaces à racler.

La lame en acier trempé extra dur du grattoir télescopique Leborgne nanovib® assure une haute résistance indispensable pour racler et nettoyer les banches et les murs. Pour une plus grande robustesse, la douille de l’outil est renforcée par 2 arbalétriers, et le tube en aluminium trempé de 2 mm d’épaisseur assure à la fois légèreté et résistance.

Grattoir télescopique Leborgne nanovib®
Manche télescopique : 2 m à 3,50 m
Poids : 3,4 kg
Prix de vente : 79 euros HT
Points de vente : Négoces, Fournitures Industrielles, Quincailleries du bâtiment, Loueurs
Tête de rechange disponible
Date de mise sur le marché : Septembre 2015